Mon cœur à sa façon, est bien d’autres choses que polisson.
Quand il chante ou danse en rond, il est capable et vraiment bon.
Passé un temps, passé la réflexion, on l’entend, on l’attend, il devient con.
A
la nuit tombée, à l’arrivée de la rosée, l’heure est habituellement
réservée aux habitants des bois, les fées. Lui se réveille, se révèle,
d’une veste brodée pour trôner, impérieux dans sa fuite à peine masquée,
folie faussement gardée. La grandeur de son dessein n’a d’égale que son
déclin.