Une lettre sur les genoux,
L’air ailleurs, tu fais la moue.
Par quoi tes pensées sont-elles occupées ?
Sous ta mine triste, tu sembles happées.
Des chenilles dévorent ton estomac,
Près de vomir ses “tu me manqueras”.
Quand vas-tu sortir de ton cocon ?
Quand vas-tu devenir un papillon ?
Tu sens cet amour qui te tord
Et tu pues l’odeur de la mort.
Peut-être parce que tu t’es assoupie,
A jamais, tu es endormie.
C’est ton âme qui s’est élevée,
Ce qu’il restait de toi, c’est juste envolé.
Tu te mets à la poésie ? 😀