Assisse
sur un petit tabouret, à
quelques mètres de son fauteuil, je l’examinais.
Assisse sur un petit
tabouret, à quelques mètres de son fauteuil, je l’examinais. Étendu
de tout son long, une main sur la poitrine et l’autre sur
l’accoudoir. Dans d’autres circonstances, il lâcherait de temps à autre un râle bref, signe de son sommeil léger. Je savais qu’il était à
l’aise, sans quoi jamais il n’aurait fermé les yeux avec quelqu’un d’autre dans la pièce. Seulement, à part moi, personne ne lui rendait visite, et malheureusement, celle-ci fût la dernière.