6 lignes – jour 100

C’est le signe d’un déséquilibre sérieux. Claire s’est presque assoupie assise sur le portail de l’enclos des chevaux. Elle est habillée d’une chemise rouge, dont le bouton du haut réplique les dernières heures de sa mère sous la potence. Elle vit plus qu’avec son père, palefrenier d’un grand marchand à Atkeer. Chaque mention du noble auprès d’elle la fait fondre sur place comme un torrent à travers la vallée.

Leave a Reply

Fill in your details below or click an icon to log in:

WordPress.com Logo

You are commenting using your WordPress.com account. Log Out /  Change )

Facebook photo

You are commenting using your Facebook account. Log Out /  Change )

Connecting to %s