L’ennui, le comble du vide

Après les heures de boulot ou d’études
Le cerveau ou les muscles lessivés
Frapper sa conscience avec des projets, des rêves
Et la dissimuler sous une couverture de culpabilité.

Amorphe devant l’écran
Dans le salon, dans la chambre
Sur la planche des toilettes
Ou sur le banc dans le jardin.

Le quotidien dicté par l’énergie résiduelle
D’un songe trop ambitieux
En entrevoir le début le reporte au lendemain
Le présent d’un pas indécis.

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